La vérité avant dernière de Philip K. Dick, éd. J'ai Lu

Présentation de La vérité avent dernière de Philip K. Dick

Paru la même année que Simulacres (1964) sous le titre The Penultimate Truth, La vérité avant dernière est un roman de science fiction de Philip K. Dick issu de la réécriture de sa nouvelle Les Défenseurs (The Defenders) complétée en s'inspirant des nouvelles À l'image de Yancy (The Mold of Yancy) et Machination (The Unreconstructed M).
Ce roman post apocalyptique traite du contrôle des masses et de la manipulation par l'image.
Dans cette dystopie post apocalyptique, Philip K. Dick dépeint un futur dans lequel la guerre atomique mondiale qui dure depuis longtemps a contraint les humains à se réfugier sous Terre, où ils fabriquent des robots soldats chargés de continuer la guerre. La télévision diffuse des images de la guerre qui perdure en surface et rend la planète inhabitable. Mais un jour, Nicholas Saint-James décide d'emprunter les souterrains qui mènent à la surface. Contre tout attente, il découvre un univers verdoyant où vivent quelques nantis dont l'activité principale consiste à produire des films de guerre apocalyptiques...

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Le mot des éditions J'ai lu sur La vérité avent dernière

En bas, dans les abris antiatomiques profondément enterrés, des hommes et des femmes triment à en crever pour produire mensuellement leur quota de robots soldats, comme le leur demande la voix bienveillante de leur dirigeant éclairé, Talbot Yancy. Mais en haut, à la surface, la guerre est finie depuis longtemps, et les robots sont destinés à servir la poignée de nantis qui se partagent l’Éden qu’est devenue la Terre. Un système bien huilé, qui aurait pu durer éternellement si l’un de ces travailleurs, Nicholas Saint-James, n’avait pas décidé, un jour, d’arrêter de croire aux fables…

Description de ce roman dystopique de Philip K. Dick

Livre au format poche (11x18 cm environ). 288 pages.
Traduit par Alain Dorémieux.